Développement de l’entreprise : le moteur du succès

Et que se passe-t-il s’il n’y a pas de développement dans l’entreprise ? On le sait, toute structure se doit d’assurer sa croissance pour reste pérenne et compétitive sur le long terme. D’un autre côté, dans un monde où le capital immatériel devient décisif, la croissance de l’entreprise s’accompagne également de celle de l’être humain, de l’employé à l’actionnaire en passant par le dirigeant.

Le développement de l’entreprise n’est pas le fruit du hasard mais de l’effort

Le facteur chance peut avoir un impact sur la croissance de l’entreprise, mais il ne peut s’inscrire dans la durée. C’est une affirmation qui peut sembler « bateau », mais la croissance de l’entreprise est avant tout la résultante du travail acharné. Pour progresser, l’ensemble des services d’une entreprise se doivent de créer des synergies pour avancer.

Le consommateur, facteur clé de croissance !

On a tendance à l’oublier, mais c’est bien le consommateur qui décide de la croissance (ou pas) d’une entreprise donnée. Si le marché est saturé sur un produit ou un domaine d’activité stratégique (DAS) donné, l’entreprise ne pourra pas croître, à moins de complètement disrupter le marché en question. Tout est lié au consommateur et au besoin réel que l’on se propose de satisfaire.

Le chef d’entreprise, maillon décisif de la croissance

Une direction forte, agile et déployant une vision stratégique cohérente est indispensable à la croissance pérenne de toute entreprise, à la progression professionnelle et sociale de ses salariés et, in fine, à la réalisation des objectifs sociétaux. L’entrepreneur créateur de valeur, qui a fondé sa propre entreprise avec des connaissances techniques et managériales ainsi qu’une expérience dans son cœur de métier, doit pouvoir acquérir la vision nécessaire pour équilibrer entre la délégation du travail et la prise en main des décisions stratégiques. Ce sera sa meilleure arme pour fuir la triple déception : la déception devant l’absence de développement, la déception devant l’absence d’impact positif sur les salariés et la déception « personnelle » d’avoir manqué le coche.

Conclusion : la croissance est le moteur de l’entreprise

Tous les professionnels ne partagent pas ce point de vue, mais force est de constater que peu d’entreprises ayant cumulé les années de récession restent pérennes dans leurs formes initiales. Et pour croître, il faut répondre à un besoin clairement identifié, profondément intégré dans l’ADN de l’entreprise et bien compris par l’ensemble de ses collaborateurs.